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La médecine ? Oui, mais laquelle ? La médecine chimique ou la médecine énergétique? Quarante années consacrées à l’homéopathie et un bilan.

Installé dans la région liégeoise, bassin minier particulièrement important, je devais faire face à des milliers de bronchiteux, des gens qui toussaient, qui crachaient et étaient court d’haleine. En pratique, pour les aider, je ne disposais que des antibiotiques, de la cortisone et de la théophylline ! Malgré l’aide régulière d’un pneumologue et d’un cardiologue, je les voyais continuer à s’enfoncer dans leur maladie, au point de mourir souvent bien jeunes !

Pour les aider, je ne possédais, en pratique, que la théophylline, la cortisone et les antibiotiques. Même en ayant recours à l’aide d’un pneumologue et d’un cardiologue, cet arsenal thérapeutique se révélait bien peu efficace !

Et cependant, deux de mes patients semblaient évoluer de manière particulièrement favorable. Surpris par cette amélioration, je voulus connaître le spécialiste qu’ils avaient consulté. Leurs réponses à mes questions restaient fort évasives. Je sentais dans leur regard une volonté de garder un secret, mais ils finirent par m’avouer qu’ils se soignaient également par homéopathie avec l’aide d’un thérapeute français exerçant dans la zone frontalière. En les interrogeant avec plus de précisions, j’appris que ce thérapeute leur conseillait des flacons portant la marque POCONEOL® et que ces flacons contenaient plusieurs plantes diluées et dynamisées selon la méthode homéopathique. Devant l’évidence des résultats obtenus, je décidais de m’informer sur ces produits et parcourus avec mon épouse 1.200 km pour mieux les connaître. J’y appris que ces complexes étaient préparés à partir de plantes médicinales provenant de la flore amazonienne (Brésil), flore dont les plantes doivent leur activité exceptionnelle à l’absence de pollution et aux conditions climatiques. Depuis qu’ils sont entrés dans ma pratique quotidienne, je leur suis resté fidèle !

Quand on réfléchit au processus de la maladie, à ses relations de causes à effets, on aboutit inévitablement à la conclusion que la vraie médecine devrait être énergétique et donc reposer sur les principes de l’acupuncture et de l’homéopathie. C’est mon cheminement dans cette vraie médecine que j’ai tenté d’exposer dans le présent ouvrage.
Il faut reconnaître que depuis le début des années 60, les affections allergiques et les maladies iatrogènes sont de plus en plus nombreuses : ces maladies sembleraient avant tout provoquées par les antibiotiques, les anti-inflammatoires et les vaccins, vaccins qui s’adressent à des bien portants et n’ont donc jamais pu apporter la preuve de leur efficacité, ni de leur innocuité, mais ne sont pas restés sans répercussions positives sur les laboratoires et les milieux médico-pharmaceutiques concernés ! La médecine moderne a fait d’énormes progrès, mais les malades sont de plus en plus nombreux et les affections de plus en plus rebelles !

Que faut-il en conclure ?